Bonjour tout le monde. Je m'appelle
Weiss D. March. Ce nom ne vous dit peut-être rien mais il fut un temps où l'on m'appelait
Le lièvre de Mars comme dans
Alice au pays des merveilles. Sinon j'ai
25 ans ans et je vis à
Storybrook. En savoir plus sur ma vie ? Et bien je peux vous dire que je suis
en complexité sociale et que je suis également
Herboriste . On me dit souvent que je ressemble à
Chloé Norgaard mais ce n'est qu'une question de point de vue. Oh j'allais oublier, je prends je crédite :
CréditLe caractère I'm tired of trying to be normal
I'm always over-thinking
I'm driving myself crazy
So what if I'm fucking crazy?
[I'm Gonna Show You Crazy By Bebe Rexha]
Pour ce qui est du mental, j’ai envie de vous dire, que tout va bien dans le meilleur des mondes, seulement voilà madame…enfin mademoiselle pardon ! n’a plus du tout toute sa tête, et en plus de ça il faut qu’elle partage ses souvenirs avec son double, jumelle, ou on ne sait trop quoi bref, ça sera « l’autre ».
Elle est donc Désaxe mentalement, et souvent de bonne humeur voir trop Enthousiasme, créative, et toujours partisane pour boire une bonne tasse de thé de sa composition personnelle. Elle arbore souvent un sourire charmeur diabolique, quand elle a ce sourire, évitez la, car c’est pour une demande, ou un coup foireux. D’ailleurs, en général, quand elle a ce sourire, elle a tendance à s’adresser à son double, pour faire le plus gros du sale boulot, entre affaires sans failles et affaires douteuses, son cœur balance.
Sinon le sourire niais quand elle est joyeuse « normal » dirons-nous, à ce moment là, vous pouvez lui faire confiance. Enfin c’est là un grand mot. Ne lui faites pas de crasse et ça passe. Après si physiquement parlant votre « style » ne passe pas, bah… ça ne passe pas. Elle vous ignorera totalement….
Parfois elle va parler dans le vide, dire tout et n’importe quoi, n’ayant pas forcément de réel sens, comme les mots ses actions aussi non pas toujours de sens. Elle pourra très bien vous fixer pendant 20 min comme vous lécher la joue par ce que….qu’elle en a eu envie. Dans ses moments là il ne faut pas chercher le pourquoi du comment, mais vous vous y ferez ! Enfin après elle se laisse approcher mais pas trop, ne comptez pas sur elle pour vous écouter sur vos petits soucis personnel tout ça, elle s’en contre fou mais royal ! Mais si par contre …. Elle s’attache à vous, c’est terminé, vous être comme prisonnié d’elle. Possessive, protectrice, jalouse, agressive. Ce qui lui appartient elle le défend comme une trigresse. Un bien pour un mal, dans cette unique condition, elle pourra décrocher la lune pour vous ! Alors veillez à être du bon côté de la porte quand elle vous approche.
Déblatérer sur le mental, tout est si superflu, et puis on peut en découvrir beaucoup plus autour d’une tasse de thé. Plutôt qu’en décrivant un caractère, sans même avoir un jugement extérieur sur ce que l’on dit, si c’est vrai ou faux, bref, on ne sait pas trop, on n’sait pas je n’sait plus.... elle commence sérieusement à être atteint par sa folie.
Enfin bref, c’est donc une folle, immature, joueuse, lunatique, mentalement débridée, excentrique, outrageuse, bruyante, colorée, vivante, violente, irréfléchie, une vraie erreur de la nature certains dirons. Qui parfois se laisse emporter par des élans de haine, où elle serait prête à tuer sans état d’âme à ce moment là, on pourrait même croire que c’est une « femme sans cœur » ou au cœur de pierre. Il faut dire que tuer n’est plus un obstacle pour elle surtout quand elle vous à de travers.
Son premier passe temps ? À part boire du thé bien sûr… c’est… hm …comment dire … cache-cache. Bah oui c’est une fille Bizarre alors autant que ça serve à quelque chose, vous ne croyez pas ? Quoi que côté excentricité, ce n’est pas un mouton ….enfin plutôt un lapin comme les autres alors même à cache-cache on la remarque vite …elle sort vite du paysage avec son accoutrement et ses cheveux arc en ciel. D’ailleurs regardez bien ses cheveux, cela vous aidera à visualiser son humeur du moment !
Elle ne connaît le terme du « juste milieu » chez elle c’est le Quitte ou Double comme on dit, Donc j’ai dis quelle était folle, malade, maniaque, psychopathe, créative.
Ah! celle-ci est aussi radine, et coquette. Elle adore prendre soin de sa petite personne par son look et son langage. Toujours prête à charmer de nouvelles plantes, hommes, frère, amie, bref un peu tout. Elle à ce charisme qui vous envoûte même sans le vouloir. Il ne faut pas mourir bête sans avoir tout goûter.
Elle n’est pas très causante, surtout lorsqu'elle créer quelque chose, ou qu’elle est dans ses pensées, elle ne parle que par intérêt ou dans le vide sinon. On parle de créativité, mais que créer t-elle ? De la musique, elle est une violoniste sans lumière. Cette jeune femme n’est pas qu’un ensemble de conneries, elle peut créer des choses belles et mélodieuses. La musique et surtout le violon la canalise, la calme, la remet en place, la transporte, l’adoucie et la transforme.
Sinon, j’ai oublié de dire que Weiss est très voir trop franche quand elle est du mauvais côté de la force. Entendez par là tout le temps. Dans sa folie elle se complaît dans la douleur. Comprenez par là que si vous la frappez elle se relèvera avec le sourire pour vous rendre le coup. Alors ne la ratez pas, par ce qu’elle ne vous ratera pas elle…soyez en sure. L’adrénaline, l’excitation, le plaisir et surtout la puissance, voilà ce quelle ressent dans ses moments précis.
En fait comparé à son double, Weiss est le genre excentrique, soignée, créative, désordonnée mentalement et tout simplement bonne en affaire, tarée et amusante, joyeuse, colérique, théièrephile, charismatique, narcissique, bavarde, tactile dans tout les sens du terme.
Un vrai OVNI instable. Après à vous de voir si vous l’apprécierez ou non. Etre normal est trop ennuyant, alors autant sortir des sentiers battus, approchez elle ne mord pas …..tout de suite.
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Norgaard Chloé [color=firebrick]○[/color] Weiss D. March
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[color=firebrick]°•.[/color] Le Lièvre de Mars
Ton histoire « Je dois réellement vous raconter mon enfance? Ma vie? Vous souhaitez connaitre mes parents, mes relations? j'y gagne quoi en retour?… »
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Je ne pourrais pas vous décrire complètement son enfance, après tout peut de personnes connaissent sa vie et pour ne pas mentir, son enfance n’a rien d'extraordinaire. Un père et une mère? Une maison en campagne? Des parents travailleurs et intègrent et tout le toutim ? Tout ça est le début banal et sans intérêt d'une vie qui prendra de sens qu'a l'âge de 12 ans pour elle.
Le début de cette histoire ne sera donc raconté qu'à partir de paroles que l'on m'a dites et que j’ai entendu. Car ce n'est pas elle qui vous racontera tout cela. Par pure hasard de mélange de plantes elle c'est elle même prémunie de la capacité de ce souvenir de certains passages de sa vie. Weiss est née un jour d’été. Elle a grandit dans une maison jusqu’à ses 12 ans, entourée de parents et d’autres enfants de son âges. Les années passent et la petite Weiss grandit, rien d’exceptionnel jusque là. Sauf si l’on s’intéresse un peu plus à cette enfance, en effet celle-ci était rythmée par des séances de dressage au sens propre, de cours d’apprentissage de ses capacités intellectuelle. Car si vous ne l’aviez toujours pas compris cette jeune fille était une Orpheline, créée de toute pièce, pour les ambitions montantes de la société qui la mise au monde. Une bonne petite domestique à venir. Les parents sont de simples soeurs qui ont un amour inconditionnel pour les enfants perdus et l'argent que leur maîtrise de la bonne attitude serviable qu'elles enseignaient à leurs enfants leur rapporte à la vente de l'un d'eux.
Donc revenons en à Weiss, malgré ce que vous croyez ce n'est pas une histoire sordide ou les parents sans coeur on lâchement abandonné leur bambin. Le pourquoi du comment de son arrivé ici est tout simple. Incendie, un incendie qui a emprisonné ses parents artisans. et a Wonderland, les enfants de 4 ans ne se transformes pas en super citoyen indépendants qui réussissent tout de leur mettre 20! Elle fut placée dans cet orphelinat pour avoir un métier plus tard, et un espoir de survie. Débrouillarde, Autonomie, Responsabilité, les piliers qui sont enseignés au sein de ces murs sentant l'humidité. Mais évidemment Weiss se projetait sur un autre avenir que servir des cul bénis du lever au couché du soleil. Elle veut de l'action, de l'aventure et surtout être maître de son propre destin. Classique me direz vous. Mais elle ne voulait pas être le héros de ces dames, non elle veut être elle même et être connue et reconnue. Elle n'avait aucune limite, sauf celui de s’affranchir de son statut d'orpheline.
Pour la plupart des enfants leur chemin était tout tracé, grandir, intégrer une famille de noble, les servirent et finir leur jours sans reconnaissance ni lumière sur leur nom. Très peu pour Weiss, l’anonymat d’une vie monotone est loin de ses envies personnelles. Les jours passent et elle se tente enfin de quitter cette maison, un soir alors que les autres dormaient elle décide de prendre ses quelques affaires personnelles. Son violon. Une photo de famille, un vieux livre de conte et le manuscrit que son père tenait tous les soirs. Elle avait beau l’avoir lu en long en large et en travers elle n’avait jamais comprit le but de ses pages, mais pour dire vrai elle s’en fichait, c’était à son paternel c’est tout ce qui comptait. A son âge et son degré maturité, elle ne voyait que les souvenirs que ces objets pouvaient lui rendre.
Après quelques heures de marche elle se disait déjà que son choix n’était pas le bon. Repartir à l’orphelinat ou continuer, elle voulait voler de ses propres ailes et ne pas finir avec un chignon dans les cheveux à 25 ans. Rien que de savoir quelle ne pourra jamais décoller de ce simple statut de bonne lui redonne courage pour partir terminer son chemin en plein centre ville. Evidemment la nuit il fait noir. Et le noir reflète nos peurs. Nos peurs nous rendent fragile. Elle n’avait encore jamais été aussi seule pour la première fois. Heureusement la petite à une forte imagination et capacité à se voiler la face dans un monde tout rose et pailleté. Pour se tenir compagnie elle chantonne une petite chanson en continuant sa route. Seulement elle ne pouvait pas continuer ad vitam aeternam comme ça …. Le lendemain elle se retrouve aussi seule que la veille. Mais le froid et la faim commençaient à la grignoter.
La suite? Ce qui ne va pas vous plaire maintenant c’est que c’est justement à ce moment la qu'on passe au moment ou elle c’est fabriqué sa propre amnésie phytopharmaceutique grâce aux enseignements de sa mère Botaniste. Personne ne sait à part sa conscience anesthésiée ce qu’il c’est passé ces sept dernières années qui ont suivit son départ de l’orphelinat. Ce qu’il en reste en tout cas n’est pas fameux, un changement ou une amplification de sa personnalité dédoublé par moment et déjà assez complexe à la base. Elle se mettait à se parler à elle-même et semblait rentrer dans des conflits personnels et internes avec elle-même comme si une partie d’elle n’était pas encore d’accord avec elle. Tout ce qu'elle sait c’est que ce tatouage d'un Lièvre sur son poignet est définitivement encré ainsi que le fait quelle puisse enfin comprendre le journal de son père.
Autour d’elle un bureau, des plantes à foison et un homme. Plutôt agréable à l’œil il faut dire, mais elle déchante rapidement quand il embrasse une donzelle qui fait son apparition aussi rapide que son réveille soudain. Perdu, elle le montrait bien sur son visage, mais ce n’est pas grave, elle ne perd pas son culot et va directement les voir pour avoir la fin de cette histoire. Mais tout ce quelle reçu c’est une lettre, et un baiser sur le front. Familier et tellement agréable se disait elle. Elle ne ressentait pas de peur ni de menace venant d’eux plutôt de la chaleur et de la tendresse. En lisant la lettre elle remarque vite que c’est sa propre écriture, et tombe de nue quand elle comprend quelle c’est elle-même infligée cela. Mais par contre en retour ce cette action elle reçu un formidable cadeau.
Pourquoi ce tatouage, en plus un lapin….enfin un lièvre d’après ce joli cœur. D’ailleurs elle le regarde en détails et il semble qu’ils aient le même âge à quelques années près. Drew, il se présente comme naturellement envers elle.
« Dis moi je ne vais pas mourir découpée et enterrée dans le fond de la forêt ? » celui-ci la regarde et secoue la tête non chalement avant de répondre aussi naturellement que celle de donner l’heure
« non, mais j’y avais pas pensé » avec de grands yeux elle le fixe, il ne semblait pas perturbée elle tente autre chose
« j’aime les licornes, et manger des nounours en guimauves j'ai l’impression d'avoir le pouvoir ultime de choisir qui vit et qui meurt avalé par mon estomac. » ne réfléchissant pas, elle approche et lui met un doigt dans l’oreille. Celui-ci la fixe aussi impassible qu’une porte de prison avant de poser un sourire moqueur
« ta de la chance que plus rien me choque chez toi ! » enlevant sa main il se lève et lui lance le manuscrit de son père.
Les jours passes et il reste aussi stoïque sur les questions à répétition que l’arc en ciel vivant lui posait toutes les heures de tout les jours qui suivent. La réponse était la même systématiquement
« tu vas me tuer si je te racontes ce qu’il c’est passé » en effet elle lui a demandé tout les jours depuis son « réveil » ce qu’elle à oublié, mais il était comme investie d’une mission céleste au point de tenir bon aux multiples assauts de Weiss, bizarrement elle ne le connaissait pas plus que ça mais son intuition lui guidait le geste de le connaitr depuis des mois voir des annees. Et lui faisait de même quand il passait la voir. Elle savait qu’il travaillait pour un cabaret. Depuis que l’autre jour Drew lui avait rendu son journal. Enfin celui de son paternel, elle c’est rendu compte en le lisant qu’elle comprenait toutes ses formules, mais qu’en plus …. Elle avait continuée les pages blanches de ses propres recherches. Et cela ne semblait pas enchanter Drew.... bien au contraire il lui avait fait comprendre clairement que son amnésie avait été un échec sans plus d'explications à chaque fois. Elle etait folle de joie de savoir decripter -sans se rappeler de ses dernieres annees- se calpin. Alors que Drew lui en faisait des cauchemars. Ce quelle ne comprenait pas et qui la mettait encore plus en déroute sur ce qu'il se passe.
De quoi s’agissait il ? Vous êtes curieux n’est ce pas ? Mr Gregory March travaillait sur la transmutation de matériaux, plus communément appelé ALCHIMIE. C’était un homme érudit qui avait un esprit des plus ouvert et doué d’une soif inexorable de connaissance. Une excitation intellectuelle impressionnante. Cet homme était antiquaire de métier, et c’est dans ses recherches de beautés perdues qu’il est tombé sur cette science oubliée. Cette science avait deux buts, créer la pierre philosophale, et transformer le métal en or et guérir toutes maladies. La prolongation de la vie, une vie prolongée voir infinie. L’étude de ces sujets était une vraie passion pour le père de famille. Et sa femme l’encourageait promptement à suivre ses idées et ses recherches. Depuis le début de ses recherches et ses expériences pour mettre en action ce qu'il a compris, tout à été noté minutieusement dans ce carnet en cuire relié et marqué au nom de G. March.
Nous avons bien avancé maintenant sur son histoire, mais des gros blancs restes encore à clarifier, moi-même je suis parfois en train de me demander ce qu’il c’est passé. Tout ne m’a pas été dicté. Mais à force je pense en connaître long sur Ce Lièvre de Mars que tout le monde côtoie mais personne ne connaît vraiment. Pour comprendre ce qu’il arrive il faut ce replonger sept ans en arrière. Alors qu’elle venait de quitter l’orphelinat avec ses quelques affaires, elle venait de passer sa première nuit au froid. Et ce n’est pas en errant comme un fantôme dans les rues que de la nourriture viendra ce poser devant elle ou un toit pour l’accueillir. C’est comme ça qu’elle décida le lendemain de ce faire quelques pièces en jouant sauvagement dans les rues des mélodies quelle connaissait avec son instrument. Quelques pièces étaient bien le mot, à peine de quoi ce prendre uns soupe et un bout de viande dans une auberge. La réalité de la vie la frappe dans une claque sans ménagement au visage. Elle ne pourra pas perpétuellement vivre dans ces conditions. C’est le début d’une vie nomade dirons nous pour nous rassurer.
Deux jours plus tard, elle continuait encore à jouer dans les rues, en changeant constamment d’endroit pour ne pas se faire avoir par les commerçants qui ne voulaient pas de tapage devant leur devanture. C’est comme cela qu’elle croisa le chemin de deux jeunes hommes. De vraie copies vivantes l’un de l’autre. Des jumeaux. Et roux en plus ! Bref, c’est deux charmants jeunes hommes de deux ans de plus qu’elle, s’amusaient à faire des tours de passes passes et de prestidigitations en pleine rue devant une sublime battisse. Imposante, mystérieuse, perturbante, attirante, cette battisse avait toutes ses fenêtres teintées, ou remplacé par des vitraux. Excentrique et joueurs, les deux garçons ont entouré Weiss pour jouer de leur tours en même temps quelle jouait elle de son violon. Un Bœuf Magique Musique. Elle s’amuse pour la première fois depuis son départ. Et c’était réciproque à l’occurrence. Après une bonne demi heure de jeu, Weiss se fatigue par la faim qui la travail et le manque de sommeil dû au nuits froides. Les jeunes hommes l’invitent à l’intérieur de cette battisse que beaucoup de passants semblent occulter.
Une fois rentrée, la jeune demoiselle encore novice sur le fonctionnement de la vie entre dans un autre monde. Stupéfaite, effrayée, enthousiaste, excitée, réticente. Tout ce mélange dans sa tête. Des couleurs vives, de la musique entraînante, du monde partout, à boire et à manger a foisons. Et surtout…des hommes, beaucoup d’hommes. Beaucoup trop d’ailleurs, elle semble perplexe sur ce point là. Mais elle n’a pas le temps de réfléchir que les deux gaillards la présente. Au gérants de cet endroit. Elégant, précieux, digne, posé, cet homme inspire la confiance et la chaleur en un regard, elle ne pouvait pas décroché ses petits yeux bleu de son visage. Et cela l’amusait clairement. Accueillant, il accepte que les deux l’invites sur les frais de la maison pour manger et ce reposer. Pour être honnête cela dura un mois. Mais les frais de ce squatte commençait à ce faire sentir. Et elle aussi se sentait mal de rester ici au frais de la princesse. C’est ainsi qu’un accord ce mis en place entre elle et Absolem. Car oui le gérant se prénommait Absolem Manrish. Un noble féru d’art et de belles choses.
Les garçons enjouaient avaient trouvés une nouvelle collègue et amie il faut dire que le trio marchait plutôt bien. Tant sur scène que dans la vie, comme un vrai trio fraternelle, les deux grands veillaient sur elle comme une petite sœur. Et elle le rendait bien, elle c’était très attachée à eux. Violoniste sur scène elle pouvait enfin débuter quelque chose de ses propres mains. Certes ce n’est pas la vie quelle c’était imaginée, mais elle n’était pas à la rue, elle avait a manger, un toit, une seconde famille. Car oui, les autres artistes l’on très vite intégrée à la maison. Elle se sentait bien. Même en sachant que cette maison, ce cabaret privé offrait des services bien plus loin que de simples danse de ses hôtesses de charmes. Elle n’était pas stupide, mais elle ne voulait pas se lancer dans ce genre de vie non plus, elle se cantonnait à jouer en solo ou en trio avec les petits magiciens. Elle commençait à être reconnue pour son travail. Et elle adorait ça pour ne pas mentir. Absolem lui non plus n’était pas déçu. Il protégeait et s’occupait de ses artistes comme de vrais trésors. Il était l’ami, le père, le frère, l’amant de certaines pour palier au manque affectif que chacun de ses employés qui se retrouvaient ici recherchaient.
On arrive enfin au pourquoi du comment, un soir, Absolem, en venant amener un petit muffin illuminé d’une bougie pour lui souhaiter son anniversaire elle lui fait part de ce manuscrit, ce livre quelle ne comprend toujours pas. Intrigué il jette un coup d’œil et sourit. Lui avait une idée de ce que c’était. Confiante elle lui cède le livret et c’est quelques jours plus tard à la fin d’une de ses représentations qu’Absolem revient avec le manuscrit et un homme, vieux, mais amusant. Après une nuit blanche, elle en sort bouleversée mais enfin elle à le fin mot de ce que sont père faisait. A cause de cette découverte elle à tout comme son paternel une soif de connaître, d’apprendre et de faire par elle-même ses propres découverte. Ce n’est pas la fille de son père pour rien. En accord avec Absolem elle se rendait chez ce papy, qui se nommait Nathanaël Lucrès. C’est comme ceci que durant trois ans elle appris et s’enrichie de ses connaissances qu’il avait plaisir d’offrir à une personne qui ne le prenait pas pour un fou. Ce n’était une partie de plaisir mais le patrimoine de ses parents l’on bien aidée à avancer dans ces études. Les bases de l’alchimie lui était enfin compréhensibles, et les écrits de son père enfin claires. La voir s’épanouir de la sorte la rendait encore plus attrayante, tant sur scène que dans la vie. Sa musique en était influencée, et petit à petit elle se métamorphosait en papillon.
Elle devait trouver son style et cette chose qui la différencie maintenant que cela fait quatre ans quelle hante ses mur de son violon. Pour rire les jumeaux l’affubles d’oreilles de lapin brunes. Après une énième dispute, elle se rend compte qu’elle apprécie grandement l’effet cocasse que cela donne à son personnage d’avoir des oreilles de lapin.
« C’est plus un lièvre mais bon…. » Regardant Absolem elle sourit affreusement enjouée, elle venait de trouver son personnage au sein de cette famille.
« Un lièvre ? » se regardant dans la glace elle lève les yeux vers son mentor.
« Un Lièvre de Mars » ses cheveux coloré et son caractère collait étonnamment avec ce style venant poser ses mains sur ses épaules Absolem chuchote
« Non….. LE Lièvre de Mars, et le seul à mon amble avis » Le lièvre de Mars était née pour le cabaret d’Absolem et les clients qui le fréquentaient. Sa musique ce faisait connaître au bout de ses années passées ici. Voilà cinq ans quelle à passé hors de l’orphelinat. Elle avait tournée le dos à son passé et ne voulait que voir son avenir, elle ne le voyait pas passer éternellement ici mais c’est une bonne base avec une nouvelle famille. Et ça, Absolem l’avait bien compris. Il le sentait et il ne semblait pas, au premiers abords être du genre à refuser l’envol de ses « enfants », ses artistes, ses employés. Mais le diable s’habille en blanc quand il le veut.
C’est ainsi quelle se décide de voir Absolem pour voler de ses propres ailes. Elle voulait voir le monde, voir du pays, voir les autres royaumes. C’est un 12 Mars quelle entre dans son majestueux et imposable bureau la boule au ventre en se tortillant les doigts. Elle lui expose ses envies, ses rêves, ses émotions, ses convictions. Celui-ci l’écoute attentivement et calmement, rien ne paraissait sur son visage marqué par l’expérience, mais c’était un mal pour un bien, on ne pouvait pas savoir s’il était d’accord ou totalement contre. Elle avait deux jours pour décider de ce quelle voulait. Restait ou quitter l’établissement pour seulement 850 jours. Vous vous demandez pourquoi seulement 850 jours ? Elle a joué, elle a perdu. Absolem est un grand parieur, et tous ce qu’il faisait ou entreprenait dans la vie ce jouait a pile ou face. C’est comme cela qu’ils se sont retrouvés dans cette situation. Pile elle s’en va comme elle veut, face il décide du temps quelle passe hors de ses murs. C’est un peu pervers et malsain de jouer sa liberté alors quelle à fait tout ça pour la conquérir. Mais que voulez vous, on ne change pas une Weiss. C’est ainsi quelle signe un contrat malgré elle pour revenir entre ces murs dans 850 jours de liberté absolu.
Paquetage terminé, cheval scellé, vivres rangés. Elle salut ses amis sa famille. Les frères ont été assez blessés quelle décide de partir sans même leur avoir exprimer ce souhait plus tôt afin de ce préparer. Mais conciliant ils s’en remettent rapidement quand ils l’apprennent en dépit de ce pari qu’ils jugent stupide et inimaginable de revenir ici après 850 jours dehors libre de ses actions. C’est rapidement qu’elle prépare ses bagages. Elle n’oublie pas d’aller remercier l’homme qui lui a tout appris sur les écrits de son père. Grâce à ce départ elle pourra exercer ce qu’elle a compris. Mais toute cette histoire ne serait pas amusante sans péripéties immuables à ce genre de personnage oublié. Ce n’est que le lendemain que tout bascule. Un homme quelle n’avait jamais vue ose s’introduire dans l’établissement. Armé, suivit de plusieurs garde. Leur écusson montrait la royauté de la reine de cœur, la reine mystérieuse, intouchable. Lisant un parchemin, l’homme à la tête de ce petit troupeau cherche une Weiss Dolores March. Stupéfaite elle regarde son entourage. Evidemment Absolem s’interpose mais sans résultat, la loi de la reine dominait clairement tout le royaume de Wonderland. Ne voulant pas blesser qui que ce soit, elle accepte de les suivrent sachant pertinemment quelle n’a rien à ce reprocher.
Sur la route vers le palais un silence monstrueux règne dans la carriole. Elle se heurte à des murs de glaces, elle avait beau parler en long en large et en travers elle ne recevait en retour que des regards noirs. C’est alors qu’en une fraction de seconde elle et ses convoyeurs se retrouvent stoppés brusquement, des cries, des hurlements, des bruits d’épées, une flèche qui se plante directement dans la porte comme un signe d’engagement. Le cœur battant la chamade elle n’avait pas prévue de terminer comme un faisant plumé. Avant même qu’elle ne puisse sortir la porte s’ouvre brusquement nez à nez elle fixe l’assaillant de ce trac nard. Il était aussi perplexe qu’elle en se voyant. Il comprend heureusement grâce aux menottes quelle ne faisait pas partie de ce groupe. Un chasseur qui se présente à elle après avoir vu que son embuscade avait raté, il croyait tomber sur des choses de valeurs allant au château de Cœur. Un sauvetage qui tombe à pique ? Les voix du seigneur sont impénétrables vous dirais-je. Enfin bref, voilà comment après moult et moult cabriole elle retrouve un cheval, et des vivres. Sa bourse de pièces quelle a accumulé depuis quelques années, remerciant ses vagabonds de leur aide fortuite elle reprend le chemin de son destin. De bouches à oreilles il se disait q'un célèbre chapelier avait trouvé le moyen de quitter Wonderland. Une magie qu'elle se fichait de comprendre du moment qu'elle peu voir autre chose que ce monde des merveilles. Après une bonne négociation et une bonne moitié de son argents elle réussit à le convaincre de l'envoyer dans une autre contré. C'est ainsi que d’auberges en auberges et de ville en ville elle arpente le royaume de la célèbre blanche neige, elle en avait entendu des histoires sur tous ces personnages au fur de ses arrêts.
Evidement elle ne touchait pas le bout de son aventure que ce qui chamboula des milliers de vie s’abat sur elle comme la foudre. Au mauvais moment, au mauvais endroit. La malédiction de la méchante reine vient de poser ses nuages sur tout le royaume. Ni une ni deux elle se retrouve comme beaucoup d’autre dans l’anonymat de leur vie passé. Dans une ville construite de toute pièce dans un monde parallèle au leur. Après plusieurs années comme une excentrique herboriste tenante d’une petite boutique de thé loufoque, qui malgré tout reflétait bien son esprit Wonderlandien. Toujours colorée, amusante, décalée avec son monde elle n’en oublie pas son violon après tout c’est sa berceuse. Mais voilà le dénouement, ENFIN on touche à la fin, enfin vous aller arrêtez de vous crevez les yeux sur cette histoire. Mais vous pouvez ne vous en prendre qu’à vous, n’oubliez pas que c’est vous qui avez demandé de tout savoir sur son passé !
Le charme rompu elle reprend conscience de sa vraie identité et de son angoisse d’être ici, mais tout n’est pas perdu, par malheur ou par bonheur, dans ses clients réguliers au thé de quatre heures deux jeunes hommes roux, et jumeaux en plus venaient presque tout les mercredi. Son cerveau ne fait qu’un bond quand elle se rappel d’eux. C’est sans mal qu’ils se retrouvent tout les trois. Ils la suivaient depuis son départ avec les gardes de la reine rouge. Les deux frères voulaient la prévenir de celui qui voulait entraver ses rêves. Nathanaël, ce vieux papy qui à vite compris le potentiel de la petite face à cette science perdu, en parlant avec la reine rouge il a soulevé la curiosité de celle-ci. Par la lettre d’Absolem elle comprend que ce quelle à appris et compris pouvait signer sa fin. Ne se mêlant pas aux autres habitants de la ville de Storybrook tout de suite ils passent plusieurs jours, plusieurs nuits à chercher quoi faire pour ne pas offrir son potentiel entre de mauvaises mains. La seule solution quelle trouve, toujours aussi radical, c’est d’oublier ce quelle à apprit. Tout ou rien, n’oubliez pas quelle ne connaît pas la juste mesure. C’est en désaccord avec les jumeaux quelle se prépare un soir une tisane des plus amère et risqué. Ce n’est que le lendemain qu’elle se réveille en sursaut. Autour d’
elle un bureau, des plantes à foison et un homme. Plutôt agréable à l’œil il faut dire, mais elle déchante rapidement quand il embrasse une donzelle qui fait son apparition aussi rapide que son réveille soudain